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D’ici 2030, Milan plantera 3 fois plus d’arbres qu’elle ne compte d’habitants. Oui, vous avez bien entendu, c’est le pari

Du Square du petit Sablon -et de son demi-cercle d’humanistes- au jardin de la Maison d’Erasme -entretemps devenu le temple

À l’avenir, nos villes auront besoin d’arbres capables de résister à des températures sans cesse plus élevées, à des précipitations irrégulièrement réparties et à des vagues de chaleur toujours plus longues et plus nombreuses, un effet qui se fait davantage ressentir dans les villes que dans les zones rurales.